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| Les phosphorescentes Cinq impromptus pour éclipses et reflets  |
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Anne Laurence Terrasse et Marion
Mercier proposent une installation cinétique qui évoque
à la fois le livre ouvert et l'écran informatique. Une sculpture
de taille monumentale en arc de cercle ayant la fonction d'écran. L'ensemble est un espace d'interactivité entre images projetées et des musiques enregistrées ou jouées en direct. Cette interactivité entre mouvement, espace, couleur, lumière et son crée une échappée hors de l'ordinaire. L'originalité de ces créations picturales miniatures tient de ce qu'elles n'ont rien à voir avec la photographie et permettent d'obtenir des couleurs pures lumineuses proches parfois de la phosphorescence. Elles sont le résultat d'un montage bâti sur le principe du vitrail et insérées dans des caches diapositives en verre et plastiques. La projection s'effectue en mouvement sur un principe de balayage du projecteur de diapositives. Une bande sonore accompagne l'installation pendant la durée de l'exposition. Cette bande a été préparée sous la direction de François Raulin, et regroupe également les créations de Laurent Bigot, Bruno Capelle et Jean-Louis Clot. Cette invitation à l'imaginaire a été ponctuée de moments d'improvisations durant le Mois du graphisme et le festival de musique contemporaine 38e rugissants. |
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Création d'Anne-Laurence Terrasse et Marion Mercier Co-produite par le Mois du graphisme d'Échirolles et les 38e Rugissants "Festival de musique d'aujourd'hui" 
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