Le Mois du Graphisme
 
La ville et ses édiles, la ville et ses citoyens. Comment les uns et les autres communiquent-ils ? Quelles sont les relations de pouvoir associées à l’échange d’information ? La communication visuelle est-elle le reflet des valeurs d’une politique ?
"On" râle, "on" en parle dans les couloirs et les bistrots et un tout petit peu dans certaines instances. Thierry Sarfis, Jean-Louis Sagot, Patrick Maurières ont décidé de mettre les pieds dans le plat et de porter le problème sur la place publique. Leurs propos ne sont ni exhaustifs, ni complets, mais ils sont un assez bon point de départ.
L’action se déroule à Montluçon entre 1985 et 1998. Là a été peu à peu construit un espace public où les "politique", les professionnels du graphisme et les citoyens ont appris à confronter leurs points de vue sur le monde, à partager des informations et à propager une certaines culture de l’image. Cela s’est développé hors de la manipulation structurée par le marketing qui intègre la communication politique au monde de la consommation.
La communication visuelle peut ne pas être une marchandise. Ils y croient et le prouvent.
Grenoble École d’architecture Entrée libre

 

 

POUR EN SAVOIR PLUS
> Débat
"Graphisme et pouvoir"
A l'École d'architecture
de Grenoble
> Publication